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Besançon : Pôle empoigne
Contraint de passer par la case chômage après 20 années de dur labeur dans une même entreprise, ce demandeur d'emploi de 43 ans n'avait pas apprécié qu'après seulement un an de recherches, ses indemnités cessent de lui être versées du jour au lendemain. La faute à un malheureux courrier non distribué qui avait été retourné à Pôle Emploi avec la mention « n'habite plus à l'adresse indiquée ».
Déjà énervé par la situation, l'intéressé l'avait encore plus été au moment de se faire expliquer cette méprise par sa conseillère, le 6 novembre 2012. L'agrippant pour lui faire comprendre en retour qu'il n'avait en aucun cas déménagé, l'homme avait alors également promis de « revenir avec une pioche » pour « retourner tous les bureaux ».
Néanmoins assez lucide pour avoir lui-même pris la peine d'appeler la police en prévision de son coup de folie, il n'avait pas eu le temps de s'exécuter. Ce qui ne l'aura pas pour autant dispensé ce mardi d'un passage devant le tribunal correctionnel de Besançon.
Toujours aussi véhément pour défendre sa cause un an presque jour pour jour après les faits, l'impulsif prévenu, dont on ignore aujourd'hui la situation professionnelle, sera en tout cas ressorti du tribunal avec un CDD… de 105 heures de travaux d'intérêt général, avec en "prime", 1 050 € de dommages et intérêts à verser à son agence Pôle Emploi.
C.R
Déjà énervé par la situation, l'intéressé l'avait encore plus été au moment de se faire expliquer cette méprise par sa conseillère, le 6 novembre 2012. L'agrippant pour lui faire comprendre en retour qu'il n'avait en aucun cas déménagé, l'homme avait alors également promis de « revenir avec une pioche » pour « retourner tous les bureaux ».
Néanmoins assez lucide pour avoir lui-même pris la peine d'appeler la police en prévision de son coup de folie, il n'avait pas eu le temps de s'exécuter. Ce qui ne l'aura pas pour autant dispensé ce mardi d'un passage devant le tribunal correctionnel de Besançon.
Toujours aussi véhément pour défendre sa cause un an presque jour pour jour après les faits, l'impulsif prévenu, dont on ignore aujourd'hui la situation professionnelle, sera en tout cas ressorti du tribunal avec un CDD… de 105 heures de travaux d'intérêt général, avec en "prime", 1 050 € de dommages et intérêts à verser à son agence Pôle Emploi.
C.R
Publié le mercredi 6 novembre 2013 à 14h27