Les Gros patinent bien
Spectacles, ThéâtreDe Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan
Durée : 1h35
En famille dès 8 ans
Un imposant acteur shakespearien raconte, dans un anglais que nul ne peut comprendre - même un habitant de Stratford-upon-Avon en 1564 - son incroyable épopée à travers l’Europe et les siècles. L’acteur, dont la dimension ne peut être contestée, est accompagné par un factotum, régisseur ou acteur de complément, dont la compétence peut certainement être discutée et qui est aussi malingre que l’autre est généreux et qui s’échinera, à moitié nu, le pauvre, et pendant plus d’une heure de temps, à l’aide d’affichettes en carton maladroitement barbouillées et autres boites, en carton toujours, plus ou moins correctement découpées, s’échinera donc à nous faire comprendre le sens de ce voyage que d’aucuns disent initiatique mais dont la symbolique a été engloutie par les générations si bien qu’il ne reste de cette longue errance autour du globe que le sentiment d’une course bien vaine en quête d’un bonheur qu’on savait d’avance hors de portée de ce bonhomme par trop replet.
Durée : 1h35
En famille dès 8 ans
Un imposant acteur shakespearien raconte, dans un anglais que nul ne peut comprendre - même un habitant de Stratford-upon-Avon en 1564 - son incroyable épopée à travers l’Europe et les siècles. L’acteur, dont la dimension ne peut être contestée, est accompagné par un factotum, régisseur ou acteur de complément, dont la compétence peut certainement être discutée et qui est aussi malingre que l’autre est généreux et qui s’échinera, à moitié nu, le pauvre, et pendant plus d’une heure de temps, à l’aide d’affichettes en carton maladroitement barbouillées et autres boites, en carton toujours, plus ou moins correctement découpées, s’échinera donc à nous faire comprendre le sens de ce voyage que d’aucuns disent initiatique mais dont la symbolique a été engloutie par les générations si bien qu’il ne reste de cette longue errance autour du globe que le sentiment d’une course bien vaine en quête d’un bonheur qu’on savait d’avance hors de portée de ce bonhomme par trop replet.
Jeune public