Colosses, lutteurs, culturistes et costauds dans les arts
ExpositionsS’inscrivant dans la célébration des JO de Paris 2024 portée par le Département du Doubs, labellisé « Terre de jeux 2024 », le musée départemental Gustave Courbet propose du 1er juin au 13 octobre 2024 une exposition exceptionnelle réunissant une centaine d’œuvres montrant l’importance du corps athlétique et de la lutte dans la culture visuelle du tournant du XXe siècle.
En 1853, Les Lutteurs de Gustave Courbet ont suscité les foudres de la critique. Dans cette œuvre se trouvent confrontés l’idéal antique et le corps de l’athlète contemporain. La popularité des spectacles de luttes, la professionnalisation du sport, l’institution des jeux olympiques modernes contribuent au XIXe siècle à la médiatisation d’un idéal sportif et à la multiplication de ses représentations.
L’exposition entend ainsi révéler une part méconnue de la culture visuelle pour mieux comprendre les œuvres qui, comme Les Lutteurs de Courbet, ont emprunté les muscles de célèbres athlètes tels qu’Apollon, Sandow, les sœurs Athléta, ou bien Rigoulot pour « frapper » l’observateur.
En 1853, Les Lutteurs de Gustave Courbet ont suscité les foudres de la critique. Dans cette œuvre se trouvent confrontés l’idéal antique et le corps de l’athlète contemporain. La popularité des spectacles de luttes, la professionnalisation du sport, l’institution des jeux olympiques modernes contribuent au XIXe siècle à la médiatisation d’un idéal sportif et à la multiplication de ses représentations.
L’exposition entend ainsi révéler une part méconnue de la culture visuelle pour mieux comprendre les œuvres qui, comme Les Lutteurs de Courbet, ont emprunté les muscles de célèbres athlètes tels qu’Apollon, Sandow, les sœurs Athléta, ou bien Rigoulot pour « frapper » l’observateur.