Catherine Ringer
Spectacles, ThéâtreDans un poème daté de 2018, Alice Mendelson écrit :
“Pour bien vieillir, il est bon D’avoir le vice de la joie”
Elle avait 93 ans.
Deux ans plus tard, on trouve sous sa plume :
“Mieux aimer est mon grand souci, mon application, Ma recherche et si possible, mon invention. Si je rate, j’accepte et cherche encore. C’est mon plus grand travail, mon dernier je pense.”
A 97 ans, elle continue d’écrire. “Respirer est une bénédiction, et me rappelle mon adresse essentielle : la demeure chauffée par ta peau contre la mienne.”
Un de ses vers pourrait être sa devise : « Ne jamais bâcler de vivre ! »
C’est Pascal Quéré – conteur émérite et qui forma Alice au conte – qui fit découvrir les poésies d’Alice Mendelson à Catherine. Elle nous invite à écouter ses poèmes, certains dits et accompagnés au piano par la musique de Grégoire Hetzel, d’autres en chansons composées avec Mauro Gioia, qui signe également la mise en scène.
Tarif de 36€ à 39€
“Pour bien vieillir, il est bon D’avoir le vice de la joie”
Elle avait 93 ans.
Deux ans plus tard, on trouve sous sa plume :
“Mieux aimer est mon grand souci, mon application, Ma recherche et si possible, mon invention. Si je rate, j’accepte et cherche encore. C’est mon plus grand travail, mon dernier je pense.”
A 97 ans, elle continue d’écrire. “Respirer est une bénédiction, et me rappelle mon adresse essentielle : la demeure chauffée par ta peau contre la mienne.”
Un de ses vers pourrait être sa devise : « Ne jamais bâcler de vivre ! »
C’est Pascal Quéré – conteur émérite et qui forma Alice au conte – qui fit découvrir les poésies d’Alice Mendelson à Catherine. Elle nous invite à écouter ses poèmes, certains dits et accompagnés au piano par la musique de Grégoire Hetzel, d’autres en chansons composées avec Mauro Gioia, qui signe également la mise en scène.
Tarif de 36€ à 39€