DU PAVILLON DU RÉALISME AU SALON DES REFUSÉS
Culture, NatureCourbet, un peintre en rupture avec les codes officiels
Les amis du musée Courbet vous invitent à la conférence : Du Pavillon du Réalisme au Salon des Refusés : Courbet, un peintre en rupture avec les codes officiels, par Douniazade Coobar, conférencière du patrimoine, diplômée en Histoire de l’Art
Lieu d’exposition officiel, le Salon connait régulièrement scandales et querelles quant aux choix des œuvres exposées ou refusées. A plusieurs reprises, Gustave Courbet verra ses œuvres refusées par le Salon. En 1846 ce ne sont pas moins de sept tableaux de Courbet qui seront rejetés par le jury du Salon, ainsi que plusieurs œuvres d’autres artistes tels que Jean-Baptiste Camille Corot ou Jean Gigoux. Loin de décourager Courbet, ces refus le décideront à créer son propre lieu d’exposition en 1855, le Pavillon du Réalisme. Cette initiative et un mécontentement général face au Salon, entraineront en 1863 la création d’un lieu dédié aux artistes non exposés : le Salon des Refusés.
Lieu d’exposition officiel, le Salon connait régulièrement scandales et querelles quant aux choix des œuvres exposées ou refusées. A plusieurs reprises, Gustave Courbet verra ses œuvres refusées par le Salon. En 1846 ce ne sont pas moins de sept tableaux de Courbet qui seront rejetés par le jury du Salon, ainsi que plusieurs œuvres d’autres artistes tels que Jean-Baptiste Camille Corot ou Jean Gigoux. Loin de décourager Courbet, ces refus le décideront à créer son propre lieu d’exposition en 1855, le Pavillon du Réalisme. Cette initiative et un mécontentement général face au Salon, entraineront en 1863 la création d’un lieu dédié aux artistes non exposés : le Salon des Refusés.