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Visite de Nicolas Sarkozy en Franche-Comté
En visite à l'usine Alstom d'Ornans, Nicolas Sarkozy a fait plusieurs déclarations devant les ouvriers.
Il a notamment affirmé qu'il "n'avait pas été élu pour augmenter les impôts", mais que son objectif était plutôt de "réconcilier la France avec l'entreprise et avec l'usine". Son but "est de faire venir en France, faire investir en France des gens qui ont de l'argent dans nos usines et dans nos entreprises, ce n'est pas de les faire partir".
En ce qui concerne directement l'usine d'Ornans, le président a affirmé qu'il annoncerait fin avril une série de projets "extrêmement importants" d'équipement en matière de transports ferroviaires.
Nicolas Sarkozy a par ailleurs abordé le problème du relogement des "locataires de mauvaise foi" menacés d'expulsion, mesure à laquelle il est opposé : "Je ne suis pas d'accord. Si on est de mauvaise foi, si on est malhonnête, je vois pas pourquoi la société viendrait vous aider. [...] Dans une période de crise, les gens sont très attachés à la justice et ils ont raison. La justice, c'est que quelqu'un qui est honnête ne doit pas être pénalisé parce qu'il est honnête, parce qu'on serait trop indulgent avec des gens malhonnêtes."
Quant aux ornanais et étudiants qui avaient fait le déplacement dans l'espoir de faire connaître au président leurs opinions (souvent négatives), ils n'ont pu rencontrer que des CRS. Ceux-ci intervenaient en effet au moindre déploiement de banderole, et se méfiaient du plus petit déplacement.
Source : AFP
Il a notamment affirmé qu'il "n'avait pas été élu pour augmenter les impôts", mais que son objectif était plutôt de "réconcilier la France avec l'entreprise et avec l'usine". Son but "est de faire venir en France, faire investir en France des gens qui ont de l'argent dans nos usines et dans nos entreprises, ce n'est pas de les faire partir".
En ce qui concerne directement l'usine d'Ornans, le président a affirmé qu'il annoncerait fin avril une série de projets "extrêmement importants" d'équipement en matière de transports ferroviaires.
Nicolas Sarkozy a par ailleurs abordé le problème du relogement des "locataires de mauvaise foi" menacés d'expulsion, mesure à laquelle il est opposé : "Je ne suis pas d'accord. Si on est de mauvaise foi, si on est malhonnête, je vois pas pourquoi la société viendrait vous aider. [...] Dans une période de crise, les gens sont très attachés à la justice et ils ont raison. La justice, c'est que quelqu'un qui est honnête ne doit pas être pénalisé parce qu'il est honnête, parce qu'on serait trop indulgent avec des gens malhonnêtes."
Quant aux ornanais et étudiants qui avaient fait le déplacement dans l'espoir de faire connaître au président leurs opinions (souvent négatives), ils n'ont pu rencontrer que des CRS. Ceux-ci intervenaient en effet au moindre déploiement de banderole, et se méfiaient du plus petit déplacement.
Source : AFP
Publié le mardi 17 mars 2009 à 16h57