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Violée par un conseiller général?
Le procureur de la République de Dole a reçu jeudi dernier un courrier qui risque de faire du bruit... Il a en effet été écrit par une jeune mère de famille, qui y accuse un conseiller général jurassien. Celui-ci l'aurait violée lundi dernier.
La jeune femme est employée de l'ADMR depuis 6 ans. Six années au cours desquelles elle a rencontré cet élu à de nombreuses reprises. Plusieurs fois, celui-ci aurait eu des gestes déplacés envers la plaignante. Celle-ci préférait ne rien dire, par peur de perdre son emploi.
Mais lundi dernier, elle aurait été violée et elle ne veut plus se taire.
La jeune femme a consulté deux médecins, afin que ceux-ci puissent apporter les preuves médicales de cette agression. Le premier n'a pas confirmé qu'il y avait eu un viol. Le second a en revanche relevé des traces de griffures et de violences sur le corps de sa patiente, ce qui pourrait appuyer la thèse de l'agression sexuelle.
Des preuves qui ont semé le doute dans l'esprit du procureur de la République. A la suite d'une enquête menée par la gendarmerie de Dole, il a placé le conseiller général en garde à vue, afin de le confronter aux accusations de sa victime.
NB : Le conseiller général a été libéré le mardi 27 octobre. Il a reconnu avoir eu des rapports sexuels avec la jeune employée de l'ADMR, mais toujours librement consentis.
L'enquête se poursuit.
R. Hingray
La jeune femme est employée de l'ADMR depuis 6 ans. Six années au cours desquelles elle a rencontré cet élu à de nombreuses reprises. Plusieurs fois, celui-ci aurait eu des gestes déplacés envers la plaignante. Celle-ci préférait ne rien dire, par peur de perdre son emploi.
Mais lundi dernier, elle aurait été violée et elle ne veut plus se taire.
La jeune femme a consulté deux médecins, afin que ceux-ci puissent apporter les preuves médicales de cette agression. Le premier n'a pas confirmé qu'il y avait eu un viol. Le second a en revanche relevé des traces de griffures et de violences sur le corps de sa patiente, ce qui pourrait appuyer la thèse de l'agression sexuelle.
Des preuves qui ont semé le doute dans l'esprit du procureur de la République. A la suite d'une enquête menée par la gendarmerie de Dole, il a placé le conseiller général en garde à vue, afin de le confronter aux accusations de sa victime.
NB : Le conseiller général a été libéré le mardi 27 octobre. Il a reconnu avoir eu des rapports sexuels avec la jeune employée de l'ADMR, mais toujours librement consentis.
L'enquête se poursuit.
R. Hingray
Publié le mardi 27 octobre 2009 à 14h07