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Blamont (25) : Une si vieille envie
Parce qu'il faut de tout pour faire un monde de détraqués, un Hérimoncourtois de 52 ans ne s'est pas fait prier pour rajouter sa propre pierre à l'édifice, ce samedi après-midi dans une maison de retraite de Blamont.
Un brin gérontophile sur les bords, ce qui n'est pas blâmable en soi, l'homme aura moins légitimement cédé à ses pulsions, en se prêtant à des attouchements sexuels sur une mignonne petite pensionnaire de 76 ans.
Habitué qu'il était à rendre visite sur place à une personne de son entourage, lui aura-t-elle tapé dans l'œil à l'occasion de ses fréquents passages ? Peut-être bien. Ce jour-là en tout cas, il n'y sera pas allé par quatre chemins pour faire plus ample connaissance. Ce qu'un membre du personnel aura été le premier à constater.
Et c'est ainsi surpris à caresser l'entrejambe de la septuagénaire que l'individu au contact facile se montrait par ailleurs tout aussi prompt à prendre la fuite sans détour. Le temps de rejoindre son domicile et d'y être interpellé 3 heures plus tard.
Reconnaissant partiellement les faits, le quinquagénaire, pour minimiser la gravité de son geste, aura expliqué avoir simplement « frotté le ventre » de sa victime. Un ventre qu'il faut croire tombé bien bas (sous l'effet de la gravité et le poids des années ?), mais pas autant que l'accusé lui-même : un homme marié et père de famille jusque là inconnu de la justice…
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Un brin gérontophile sur les bords, ce qui n'est pas blâmable en soi, l'homme aura moins légitimement cédé à ses pulsions, en se prêtant à des attouchements sexuels sur une mignonne petite pensionnaire de 76 ans.
Habitué qu'il était à rendre visite sur place à une personne de son entourage, lui aura-t-elle tapé dans l'œil à l'occasion de ses fréquents passages ? Peut-être bien. Ce jour-là en tout cas, il n'y sera pas allé par quatre chemins pour faire plus ample connaissance. Ce qu'un membre du personnel aura été le premier à constater.
Et c'est ainsi surpris à caresser l'entrejambe de la septuagénaire que l'individu au contact facile se montrait par ailleurs tout aussi prompt à prendre la fuite sans détour. Le temps de rejoindre son domicile et d'y être interpellé 3 heures plus tard.
Reconnaissant partiellement les faits, le quinquagénaire, pour minimiser la gravité de son geste, aura expliqué avoir simplement « frotté le ventre » de sa victime. Un ventre qu'il faut croire tombé bien bas (sous l'effet de la gravité et le poids des années ?), mais pas autant que l'accusé lui-même : un homme marié et père de famille jusque là inconnu de la justice…
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Publié le lundi 9 décembre 2013 à 14h18