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Bourgogne-Franche-Comté : Une rumeur des plus sérieuses
Pour en avoir le cœur net, il faudra patienter jusqu'au conseil des ministres du 22 avril prochain. Mais d'après certains médias nationaux, Dijon serait bien partie pour ravir à Besançon le titre tant convoité de capitale régionale de la future Bourgogne-Franche-Comté. Tout du mois provisoirement, étant donné que la nomination ferme et définitive des nouvelles préfectures de régions ne sera officiellement actée qu'en octobre de l'année prochaine. Ce qui pour autant ne laissera pas beaucoup de temps aux potentiels contestataires pour faire entendre leur voix : passée la mi-juillet 2015, il sera en effet trop tard pour déposer un dossier de recours… en sachant que de toute façon, l'état aura au final le dernier mot.
Et donc, si du côté des élus bisontins on attend la confirmation de ces bruits de couloirs pour éventuellement crier au scandale, il en est d'autres qui à l'inverse n'ont pas attendu pour réagir : Jean-Philippe Allenbach en tête !
En tant qu'ardent défenseur de notre identité régionale, le président du Mouvement Franche-Comté voit en cette rumeur « le début des conséquences concrètes du funeste projet de fusion avec la Bourgogne » dont la prochaine étape sera « la perte du drapeau comtois, qui n'aura plus aucune raison d'être sur la façade des bâtiments publics ». Un drame cataclysmique qui le pousse aujourd'hui à appeler « solennellement » les Francs-Comtois à la mobilisation générale.
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Et donc, si du côté des élus bisontins on attend la confirmation de ces bruits de couloirs pour éventuellement crier au scandale, il en est d'autres qui à l'inverse n'ont pas attendu pour réagir : Jean-Philippe Allenbach en tête !
En tant qu'ardent défenseur de notre identité régionale, le président du Mouvement Franche-Comté voit en cette rumeur « le début des conséquences concrètes du funeste projet de fusion avec la Bourgogne » dont la prochaine étape sera « la perte du drapeau comtois, qui n'aura plus aucune raison d'être sur la façade des bâtiments publics ». Un drame cataclysmique qui le pousse aujourd'hui à appeler « solennellement » les Francs-Comtois à la mobilisation générale.
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Publié le mardi 14 avril 2015 à 09h34