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Une maison "tremplin" unique en France à Bois d'Amont
La petite commune de Bois d'Amont, dans le Jura, va accueillir un projet architectural unique en France : une maison "tremplin".
A l'origine de ce projet, il y a deux hommes : un Parisien originaire de Franche-Comté désirant avoir une maison "qui s'intègre entièrement dans la nature", et Julien de Smedt, un architecte artiste belgo-danois.
Tous deux ont dessiné une maison au toit végétalisé, qui descendrait en pente douce jusqu'au sol sur trois côtés. Avec pour objectif "de préserver le panorama, mais aussi la nature".
Lorsque le futur propriétaire a présenté les plans à la commune de Bois d'Amont, les élus se sont montrés intéressés par cette maison unique en France. Toutefois, en raison du Plan Local d'Urbanisme (PLU), il leur était impossible de délivrer un permis de construire.
Le village a donc du modifier son règlement en adoptant, au mois de novembre, un nouveau PLU. La maison au toit végétal a donc enfin pu obtenir son permis de construire, à la grande satisfaction du maire, "ouvert à ce genre d'initiative" mêlant "développement durable et économies d'énergie" à "une architecture audacieuse".
Un seul regret : il faudra renoncer aux panneaux photovoltaïques pour des raisons financières.
Le propriétaire de cette future maison au toit planté de le sol, pour l'instant unique en France, espère pouvoir commencer les travaux dès ce printemps, afin d'emménager début 2012.
R. Hingray
A l'origine de ce projet, il y a deux hommes : un Parisien originaire de Franche-Comté désirant avoir une maison "qui s'intègre entièrement dans la nature", et Julien de Smedt, un architecte artiste belgo-danois.
Tous deux ont dessiné une maison au toit végétalisé, qui descendrait en pente douce jusqu'au sol sur trois côtés. Avec pour objectif "de préserver le panorama, mais aussi la nature".
Lorsque le futur propriétaire a présenté les plans à la commune de Bois d'Amont, les élus se sont montrés intéressés par cette maison unique en France. Toutefois, en raison du Plan Local d'Urbanisme (PLU), il leur était impossible de délivrer un permis de construire.
Le village a donc du modifier son règlement en adoptant, au mois de novembre, un nouveau PLU. La maison au toit végétal a donc enfin pu obtenir son permis de construire, à la grande satisfaction du maire, "ouvert à ce genre d'initiative" mêlant "développement durable et économies d'énergie" à "une architecture audacieuse".
Un seul regret : il faudra renoncer aux panneaux photovoltaïques pour des raisons financières.
Le propriétaire de cette future maison au toit planté de le sol, pour l'instant unique en France, espère pouvoir commencer les travaux dès ce printemps, afin d'emménager début 2012.
R. Hingray
Publié le mardi 15 février 2011 à 16h36