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Haute-Saône : Un escroc à la mairie
Parmi les conseillers municipaux de Vaivre-et-Montoille, petite commune de 2 200 habitants limitrophe de Vesoul, il est le seul candidat d'opposition à avoir obtenu un siège en mars dernier, face à la liste du maire sortant… qui depuis s'en trouve bien ennuyé.
Car au-delà des divergences politiques qu'il peut avoir avec ce jeune élu de 31 ans, ce qui le dérange au plus haut point à son sujet c'est… son casier judiciaire déjà bien garni d'une dizaine de condamnations pour escroquerie et travail dissimulé. Entre autres.
Une situation dont le premier édile s'était inquiété avant même les élections, en cherchant à savoir si le pedigree de son rival n'était pas incompatible avec son inscription sur les listes. Ce à quoi la préfecture avait répondu qu' « il n'y aurait plus grand monde si on empêchait les gens qui ont un casier d'être candidats » ! Une explication qui semble en dire long sur l'intégrité de nos élus en général mais voulait apparemment surtout souligner qu'une condamnation (ou plusieurs dans le cas présent) ne s'accompagne pas nécessairement d'une privation des droits civiques.
Et c'est ainsi que ce multirécidiviste avait donc été autorisé à se présenter pour finalement récolter 11,58 % des voix et gagner sa place au sein d'un conseil qui depuis ne sait trop quelle responsabilité lui confier.
Enfin bon, l'individu en question ayant écopé samedi dernier de 4 mois de prison ferme pour des vols et contrefaçons de chèques commis l'an passé, cela laisse encore le temps d'y réfléchir…
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Car au-delà des divergences politiques qu'il peut avoir avec ce jeune élu de 31 ans, ce qui le dérange au plus haut point à son sujet c'est… son casier judiciaire déjà bien garni d'une dizaine de condamnations pour escroquerie et travail dissimulé. Entre autres.
Une situation dont le premier édile s'était inquiété avant même les élections, en cherchant à savoir si le pedigree de son rival n'était pas incompatible avec son inscription sur les listes. Ce à quoi la préfecture avait répondu qu' « il n'y aurait plus grand monde si on empêchait les gens qui ont un casier d'être candidats » ! Une explication qui semble en dire long sur l'intégrité de nos élus en général mais voulait apparemment surtout souligner qu'une condamnation (ou plusieurs dans le cas présent) ne s'accompagne pas nécessairement d'une privation des droits civiques.
Et c'est ainsi que ce multirécidiviste avait donc été autorisé à se présenter pour finalement récolter 11,58 % des voix et gagner sa place au sein d'un conseil qui depuis ne sait trop quelle responsabilité lui confier.
Enfin bon, l'individu en question ayant écopé samedi dernier de 4 mois de prison ferme pour des vols et contrefaçons de chèques commis l'an passé, cela laisse encore le temps d'y réfléchir…
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Publié le mercredi 8 octobre 2014 à 12h51