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Besançon : Sauve qui pue
Avec un déficit de 7,7 milliards d'euros et des frais de santé de moins en moins remboursés, il n'aura échappé à personne que l'Assurance Maladie est plus que jamais un navire à la dérive. Mais à croire que cette situation ne sent pas déjà assez mauvais comme ça, c'est pour une tout autre odeur suspecte que l'antenne départementale de la CPAM du Doubs a dû être évacuée d'urgence hier dans la matinée, rue Denis Papin à Besançon.
Laissant craindre au départ une de ces fuites de gaz dont la capitale comtoise s'est faite une spécialité, ces effluves, après avoir ainsi poussé dehors 250 personnes, se révélaient en définitive moins dangereuses que simplement… infectes. Mais encore eut-il fallu avoir le nez assez fin pour les associer aux opérations de vidange que le service des eaux menait en fait non loin de là dans un bassin d'orage, au croisement du boulevard Churchill et de l'avenue Léo Lagrange.
Rassurés mais non moins dégoûtés une fois mis au parfum (et pris de nausées pour certains), les sinistrés avaient par la suite pu regagner les locaux.
C.R
Laissant craindre au départ une de ces fuites de gaz dont la capitale comtoise s'est faite une spécialité, ces effluves, après avoir ainsi poussé dehors 250 personnes, se révélaient en définitive moins dangereuses que simplement… infectes. Mais encore eut-il fallu avoir le nez assez fin pour les associer aux opérations de vidange que le service des eaux menait en fait non loin de là dans un bassin d'orage, au croisement du boulevard Churchill et de l'avenue Léo Lagrange.
Rassurés mais non moins dégoûtés une fois mis au parfum (et pris de nausées pour certains), les sinistrés avaient par la suite pu regagner les locaux.
C.R
Publié le mercredi 27 novembre 2013 à 12h19