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Besançon : rafale de tirs aux Clairs soleils
Rien ne va plus dans le quartier des Clairs soleils puisqu'une scène de violence sans précédent a eu lieu en fin de semaine dernière devant un bar PMU.
La police a tenu à garder le secret sur cet incident – un tir en rafale de pistolet-mitrailleur - pendant tout le début de l'enquête. Les événements n'ont été révélés qu'hier à la presse.
Mais que s'est-il passé exactement ?
La journée était pourtant calme ce dimanche midi et les quelques clients du bar PMU (et kebab / épicerie) de la rue Mirabeau flânaient en se désaltérant. Soudain une voiture s'y arrête brusquement !
Deux hommes seraient descendus du véhicule et l'un deux aurait tiré avec un pistolet-mitrailleur dans la vitrine de l'établissement.
Une dizaine de balles auraient pénétré dans le bar sans faire directement de blessé. Seule une personne aurait été touchée par un morceau de verre projeté dans sa mâchoire lors de l'attaque.
Tout porte à croire qu'il s'agit d'un règlement de compte ou d'un avertissement sévère. C'est la police judiciaire qui aura la tâche compliquée d'enquêter sur ces coups de feu.
L'enquête sera difficile car l'action s'est déroulée tellement vite que personne n'auraient eu le temps de voir ce qui s'est passé.
La police a tenu à garder le secret sur cet incident – un tir en rafale de pistolet-mitrailleur - pendant tout le début de l'enquête. Les événements n'ont été révélés qu'hier à la presse.
Mais que s'est-il passé exactement ?
La journée était pourtant calme ce dimanche midi et les quelques clients du bar PMU (et kebab / épicerie) de la rue Mirabeau flânaient en se désaltérant. Soudain une voiture s'y arrête brusquement !
Deux hommes seraient descendus du véhicule et l'un deux aurait tiré avec un pistolet-mitrailleur dans la vitrine de l'établissement.
Une dizaine de balles auraient pénétré dans le bar sans faire directement de blessé. Seule une personne aurait été touchée par un morceau de verre projeté dans sa mâchoire lors de l'attaque.
Tout porte à croire qu'il s'agit d'un règlement de compte ou d'un avertissement sévère. C'est la police judiciaire qui aura la tâche compliquée d'enquêter sur ces coups de feu.
L'enquête sera difficile car l'action s'est déroulée tellement vite que personne n'auraient eu le temps de voir ce qui s'est passé.
Publié le mardi 8 mars 2016 à 11h10