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Peut-on toujours être correctement soigné en Franche-Comté ?
Avec toujours plus de fermetures d'hôpitaux prévues dans la région, le personnel soignant et les usagers commencent à s'inquiéter pour l'avenir du système de santé public franc-comtois.
En effet, les manifestations se multiplient pour sauver des centres de soins ou des services médicaux. Dernièrement, des manifestations ont eu lieu à Gray mais aussi Clamecy ou encore Saint-Claude.
Semaine dernière, l'Agence Régionale de Santé (ARS) a présenté son nouveau projet visant à définir les grands axes en matière de santé pour les années 2018 à 2022.
Un projet rejeté à l'unanimité par l'ensemble de la classe politique locale et, donc, le conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, pour cause de dispositif « dramatiquement insuffisant ».
Pour la présidente du conseil régional, Marie-Guite Dufay, il faudrait "240 médecins généralistes, 880 infirmiers et 1.000 médecins spécialistes supplémentaires pour revenir dans la moyenne nationale".
L'ARS se dit prêt à dialoguer avec les collectivités mais toutes les conditions semblent réunies pour que la situation s'embourbe.
D'après les élus, la qualité des soins pourraient donc diminuer dans la région dans les années à venir.
En effet, les manifestations se multiplient pour sauver des centres de soins ou des services médicaux. Dernièrement, des manifestations ont eu lieu à Gray mais aussi Clamecy ou encore Saint-Claude.
Semaine dernière, l'Agence Régionale de Santé (ARS) a présenté son nouveau projet visant à définir les grands axes en matière de santé pour les années 2018 à 2022.
Un projet rejeté à l'unanimité par l'ensemble de la classe politique locale et, donc, le conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, pour cause de dispositif « dramatiquement insuffisant ».
Pour la présidente du conseil régional, Marie-Guite Dufay, il faudrait "240 médecins généralistes, 880 infirmiers et 1.000 médecins spécialistes supplémentaires pour revenir dans la moyenne nationale".
L'ARS se dit prêt à dialoguer avec les collectivités mais toutes les conditions semblent réunies pour que la situation s'embourbe.
D'après les élus, la qualité des soins pourraient donc diminuer dans la région dans les années à venir.
Publié le lundi 16 avril 2018 à 09h15