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Nouveau à Besançon : un collège dirigé par les délinquants
Le collège Diderot à Besançon (25), est sujet depuis plusieurs semaines à des actes de violence, du trafic de drogue, des insultes et des agressions.
Compte tenu de ces événements fâcheux, les professeurs ont décidé d'exercer leur droit de retrait le jeudi 8 décembre 2016.
Pour les enseignants, la coupe est pleine et ils ont même fait la liste, dans leur communiqué, des faits qui les ont poussés à ne pas travailler :
Bref, la coupe est pleine !
Logiquement, les réactions ne se sont pas faites attendre, car dans la mesure ou les enseignants ont décidé de ne pas travailler, tout porte à croire que ce sont les élèves délinquants qui dirigent l'établissement et y font la loi !
Ainsi, le directeur académique des services de l'éducation nationale (Dasen), Jean-Marie Renault, a trouvé une solution : déporter le problème sur la police qui organisera des fouilles à l'entrée de l'établissement.
Le message est étrange, car si le problème des couteaux et des matraques pourra être réglé en fouillant les élèves, qu'en est-il des insultes, caillassages et autres agressions qui ont lieu à l'intérieur du collège ?
Une affaire qui n'est pas sans rappeler le thème du film de science-fiction « Class of 1984 », sorti il y a presque 35 ans, qui montrait un lycée en prise avec des élèves ultraviolents (attention cette bande-annonce contient des images pouvant heurter la sensibilité du jeune public) :
Compte tenu de ces événements fâcheux, les professeurs ont décidé d'exercer leur droit de retrait le jeudi 8 décembre 2016.
Pour les enseignants, la coupe est pleine et ils ont même fait la liste, dans leur communiqué, des faits qui les ont poussés à ne pas travailler :
- découverte de drogue et d'armes (couteau, matraque) dans une classe de 4e
- caillassage d'une salle de réunion et insultes
- agression physique et verbale d'une professeure
- incivilités et insultes sur l'ensemble du personnel du collège
Bref, la coupe est pleine !
Logiquement, les réactions ne se sont pas faites attendre, car dans la mesure ou les enseignants ont décidé de ne pas travailler, tout porte à croire que ce sont les élèves délinquants qui dirigent l'établissement et y font la loi !
Ainsi, le directeur académique des services de l'éducation nationale (Dasen), Jean-Marie Renault, a trouvé une solution : déporter le problème sur la police qui organisera des fouilles à l'entrée de l'établissement.
Le message est étrange, car si le problème des couteaux et des matraques pourra être réglé en fouillant les élèves, qu'en est-il des insultes, caillassages et autres agressions qui ont lieu à l'intérieur du collège ?
Une affaire qui n'est pas sans rappeler le thème du film de science-fiction « Class of 1984 », sorti il y a presque 35 ans, qui montrait un lycée en prise avec des élèves ultraviolents (attention cette bande-annonce contient des images pouvant heurter la sensibilité du jeune public) :
Publié le vendredi 9 décembre 2016 à 10h42