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Miracle sous un TGV
Et si, pour une fois, Besac.com rapportait une belle histoire, sans mort et sans violence?
Les choses avaient pourtant mal commencées : hier à 17h25, un homme s'est jeté sous le TGV qui arrivait en gare de Dole, en provenance de Besançon et à destination de Paris. Un geste désespéré qui aurait pu avoir des conséquences tragiques.
Heureusement le destin ou la chance se mêlent parfois de nos affaires. C'est ce qui s'est passé hier soir.
Le chauffeur du TGV, qui avait déjà ralenti en vue de son arrêt en gare, a aperçu l'homme à temps, et a freiné brusquement. Pas assez vite pour éviter le corps pourtant. Le TGV a dû reculer afin de dégager la victime.
Toutefois, au grand soulagement des équipes de secours dépêchées sur place, l'homme n'était pas passé sous les roues du TGV. Il a donc été blessé bien sûr, mais pas au point de mettre ses jours en danger.
La victime a été médicalisée sur place, puis conduite à l'hôpital Pasteur.
Un "miracle" qui a tout de même fait quelque mécontents, puisque cette tentative de suicide a interrompu la circulation ferroviaire pendant plus d'une heure.
Mais que vaut une heure de retard contre une vie sauvée?
Laure Godey
Les choses avaient pourtant mal commencées : hier à 17h25, un homme s'est jeté sous le TGV qui arrivait en gare de Dole, en provenance de Besançon et à destination de Paris. Un geste désespéré qui aurait pu avoir des conséquences tragiques.
Heureusement le destin ou la chance se mêlent parfois de nos affaires. C'est ce qui s'est passé hier soir.
Le chauffeur du TGV, qui avait déjà ralenti en vue de son arrêt en gare, a aperçu l'homme à temps, et a freiné brusquement. Pas assez vite pour éviter le corps pourtant. Le TGV a dû reculer afin de dégager la victime.
Toutefois, au grand soulagement des équipes de secours dépêchées sur place, l'homme n'était pas passé sous les roues du TGV. Il a donc été blessé bien sûr, mais pas au point de mettre ses jours en danger.
La victime a été médicalisée sur place, puis conduite à l'hôpital Pasteur.
Un "miracle" qui a tout de même fait quelque mécontents, puisque cette tentative de suicide a interrompu la circulation ferroviaire pendant plus d'une heure.
Mais que vaut une heure de retard contre une vie sauvée?
Laure Godey
Publié le vendredi 9 octobre 2009 à 09h05