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Les francs-comtois de plus en plus nombreux
Alors qu'un nouveau recensement commence aujourd'hui, les chiffres du précédent viennent d'être dévoilés. Ils sont plutôt positifs en ce qui concerne la Franche-Comté, puisqu'ils révèlent que notre région comptait au 1er janvier 2007 41 400 habitants de plus qu'en 1999. Soit 1 158 700 habitants au total.
C'est la première fois depuis 30 ans que la croissance de notre région est positive!
Ce sont essentiellement dans les petites communes (moins de 500 habitants) que cette augmentation de la population est visible. Les grandes villes, à l'exception de Pontarlier et Héricourt, ont au contraire perdu des habitants.
La population est plutôt âgée en Haute-Saône et dans le Jura, elle est plus jeune dans le Doubs et le Territoire de Belfort.
Près d'un quart des 19-24 ans vivent d'ailleurs à Besançon, plus grosse ville universitaire de la région. Un jeune franc-comtois sur trois est domicilié à Belfort, Montbéliard, ou Besançon.
L'attrait pour les villes francs-comtoises s'estompe toutefois après 25 ans. Les jeunes adultes quittent alors les grosses agglomérations pour rejoindre leur commune d'origine, dans le milieu rural, ou pour trouver une première expérience professionnelle, rarement en Franche-Comté.
Le plus gros défaut de notre région serait donc le manque d'emploi, le chômage étant l'un des motifs de départ les plus invoqués.
Laure Godey
C'est la première fois depuis 30 ans que la croissance de notre région est positive!
Ce sont essentiellement dans les petites communes (moins de 500 habitants) que cette augmentation de la population est visible. Les grandes villes, à l'exception de Pontarlier et Héricourt, ont au contraire perdu des habitants.
La population est plutôt âgée en Haute-Saône et dans le Jura, elle est plus jeune dans le Doubs et le Territoire de Belfort.
Près d'un quart des 19-24 ans vivent d'ailleurs à Besançon, plus grosse ville universitaire de la région. Un jeune franc-comtois sur trois est domicilié à Belfort, Montbéliard, ou Besançon.
L'attrait pour les villes francs-comtoises s'estompe toutefois après 25 ans. Les jeunes adultes quittent alors les grosses agglomérations pour rejoindre leur commune d'origine, dans le milieu rural, ou pour trouver une première expérience professionnelle, rarement en Franche-Comté.
Le plus gros défaut de notre région serait donc le manque d'emploi, le chômage étant l'un des motifs de départ les plus invoqués.
Laure Godey
Publié le jeudi 21 janvier 2010 à 11h01