<< Les dernières actualités de Besançon
Gy (70) : Descente de la SPA pour libérer des chevaux et des chiens maltraités
La Société protectrice des animaux (SPA) n'y est pas allée avec le dos de la cuillère ! Jeudi 26 janvier 2017 elle a saisi des dizaines d'animaux dans un élevage situé non loin de Gy, en Haute-Saône.
L'élevage possédait pas moins de 41 chevaux. Des belles bêtes, des « purs Égyptiens », qui se trouvaient malheureusement dans des conditions physiques déplorables.
L'association a ainsi rapporté dans un communiqué que les animaux affichaient « tous les signes d'absence de soins et une maigreur caractéristique de la sous-nutrition ».
Mais ce n'est pas tout ! L'élevage avait aussi 29 chiens (bouviers bernois et laïkas) qui, eux aussi, présentaient des signes de mauvais soins.
C'est donc la SPA qui a pris les animaux en charge pour leur prodiguer des soins, le temps que la justice délivre son jugement.
D'après la loi, le propriétaire risque jusqu'à 750€ d'amende par tête, s'il est reconnu de mauvais traitement.
Au total, il en aurait alors pour plus de 50 000€ d'amende. Les animaux peuvent aussi lui être retirés à tout jamais, ce qui mettrait en péril son entreprise.
L'élevage possédait pas moins de 41 chevaux. Des belles bêtes, des « purs Égyptiens », qui se trouvaient malheureusement dans des conditions physiques déplorables.
L'association a ainsi rapporté dans un communiqué que les animaux affichaient « tous les signes d'absence de soins et une maigreur caractéristique de la sous-nutrition ».
Mais ce n'est pas tout ! L'élevage avait aussi 29 chiens (bouviers bernois et laïkas) qui, eux aussi, présentaient des signes de mauvais soins.
C'est donc la SPA qui a pris les animaux en charge pour leur prodiguer des soins, le temps que la justice délivre son jugement.
D'après la loi, le propriétaire risque jusqu'à 750€ d'amende par tête, s'il est reconnu de mauvais traitement.
Au total, il en aurait alors pour plus de 50 000€ d'amende. Les animaux peuvent aussi lui être retirés à tout jamais, ce qui mettrait en péril son entreprise.
Publié le mardi 31 janvier 2017 à 09h59