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Contrat Première Embauche
Grève anti CPE
Le 07 février, une journée nationale contre le CPE a eu lieu dans plusieurs villes de France, les syndicalistes, les lycéens et étudiants bisontins étaient de la partie.
Le rendez-vous était convenu à 14 heures sur la toute nouvelle place du Marché. Autour de la fontaine se sont retrouvés des syndicats de toute la gauche encerclant des lycéens un peu perdus, la clope à la main et le rouge au front, et, un peu comme une tache d’huile des étudiants STAPS qui venaient revendiquer leurs postes de professeurs de sport, mais pourquoi pas, c’est aussi leur avenir.
3000 personnes, selon la police, ont parcouru le centre ville de BESANCON en criant des slogans contre le contrat première embauche, les jobs précaire des étudiants pour payer leurs études et toutes les formes d’exploitations pare le travail. Le cortège, déterminé, a fait preuve d’une conviction à défriser Mr De Villepin, pendant prés d’une heure trente, dans une ambiance festive, on aura vu des lycéens porter les bannières des syndicats ouvriers avec un grand espoir pour leur avenir, et les salariés se sentir concernés par la précarité du travail des jeunes, mais bizarrement, pas de représentants des syndicats patronaux. Ce grand élan de solidarité, pour montrer au premier ministre leur désaccord sur cette mesure, s’est terminé place du Marché, sans accident, et s’est poursuivi par une conférence dans une salle, réquisitionné par ces derniers, de la fac de lettre.
Un mouvement ambitieux qui n’a pas fini de soulever des questions sur le travail des jeunes et leur avenir, malgré la motivation du gouvernement et la menace de recourir à l’article 49-3 afin de faire adopter ce texte sans débat et sans vote, ce qui serait une rupture du contrat, sans préavis, avec les acteurs sociaux.
BENOIST aurélien
Le 07 février, une journée nationale contre le CPE a eu lieu dans plusieurs villes de France, les syndicalistes, les lycéens et étudiants bisontins étaient de la partie.
Le rendez-vous était convenu à 14 heures sur la toute nouvelle place du Marché. Autour de la fontaine se sont retrouvés des syndicats de toute la gauche encerclant des lycéens un peu perdus, la clope à la main et le rouge au front, et, un peu comme une tache d’huile des étudiants STAPS qui venaient revendiquer leurs postes de professeurs de sport, mais pourquoi pas, c’est aussi leur avenir.
3000 personnes, selon la police, ont parcouru le centre ville de BESANCON en criant des slogans contre le contrat première embauche, les jobs précaire des étudiants pour payer leurs études et toutes les formes d’exploitations pare le travail. Le cortège, déterminé, a fait preuve d’une conviction à défriser Mr De Villepin, pendant prés d’une heure trente, dans une ambiance festive, on aura vu des lycéens porter les bannières des syndicats ouvriers avec un grand espoir pour leur avenir, et les salariés se sentir concernés par la précarité du travail des jeunes, mais bizarrement, pas de représentants des syndicats patronaux. Ce grand élan de solidarité, pour montrer au premier ministre leur désaccord sur cette mesure, s’est terminé place du Marché, sans accident, et s’est poursuivi par une conférence dans une salle, réquisitionné par ces derniers, de la fac de lettre.
Un mouvement ambitieux qui n’a pas fini de soulever des questions sur le travail des jeunes et leur avenir, malgré la motivation du gouvernement et la menace de recourir à l’article 49-3 afin de faire adopter ce texte sans débat et sans vote, ce qui serait une rupture du contrat, sans préavis, avec les acteurs sociaux.
BENOIST aurélien
Publié le mercredi 8 février 2006 à 11h58