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Besançon : Comme on se retrouve
Condamné fin février à 2 mois de prison ferme après s'être un peu emporté au commissariat de Besançon, un Syrien de 37 ans était de nouveau jugé la semaine passée pour des faits plus anciens mais tout aussi révélateurs de son tempérament sanguin.
En octobre 2013, contrarié de ne pouvoir obtenir un rendez-vous dans l'immédiat au centre médico-social de Saint-Ferjeux, ce réfugié politique avait en effet semé le trouble dans les bureaux de l'administration en empoignant notamment une secrétaire par le bras, avant d'heureusement retrouver son calme, être interpellé, relâché… et finalement nourrir une profonde rancœur qui explosera 8 mois plus tard à la face de deux autres employées de la structure. Au sens propre, puisqu'il leur crachera en pleine figure en les croisant dans la rue.
Ré-appréhendé suite à ce deuxième dérapage, il faisait cette fois l'objet de poursuites judiciaires et d'une expertise psychiatrique qui mettait en lumière ses élans « psychotiques » avec « altération partielle du discernement ».
Ce qui a motivé le tribunal correctionnel de Besançon à suivre les réquisitions du parquet lors de son procès : soit 6 mois de prison avec sursis, mise à l'épreuve et surtout obligation de soins. Le trentenaire devant également verser 1 300 € de dommages et intérêts à chacune de ses trois victimes.
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En octobre 2013, contrarié de ne pouvoir obtenir un rendez-vous dans l'immédiat au centre médico-social de Saint-Ferjeux, ce réfugié politique avait en effet semé le trouble dans les bureaux de l'administration en empoignant notamment une secrétaire par le bras, avant d'heureusement retrouver son calme, être interpellé, relâché… et finalement nourrir une profonde rancœur qui explosera 8 mois plus tard à la face de deux autres employées de la structure. Au sens propre, puisqu'il leur crachera en pleine figure en les croisant dans la rue.
Ré-appréhendé suite à ce deuxième dérapage, il faisait cette fois l'objet de poursuites judiciaires et d'une expertise psychiatrique qui mettait en lumière ses élans « psychotiques » avec « altération partielle du discernement ».
Ce qui a motivé le tribunal correctionnel de Besançon à suivre les réquisitions du parquet lors de son procès : soit 6 mois de prison avec sursis, mise à l'épreuve et surtout obligation de soins. Le trentenaire devant également verser 1 300 € de dommages et intérêts à chacune de ses trois victimes.
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Publié le jeudi 2 avril 2015 à 11h40