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Besançon : Agressions en chaine
Il y a des soirs où il ne fait vraiment pas bon être couche-tard à Besançon. Et c'était notamment le cas dans la nuit de vendredi à samedi en plein centre-ville, où deux groupes de personnes ont "coup sur coup" été pris à partie par des individus pour le moins virulents.
Chahutées sur la place Granvelle par 2 puis 10 bad boys peu après 2h du matin, les premières de ces victimes, au nombre de 5, auront été bien inspirées de rapidement trouver refuge non loin de là dans le bar qu'ils venaient tout juste de quitter, échappant ainsi à la promesse d'une raclée mémorable dont leurs poursuivants, frustrés, auront toutefois tenu à offrir un aperçu… en s'acharnant sur la porte de l'établissement.
Moins chanceux peu de temps avant face à une bande plus restreinte de trois lascars, un trio d'étudiants également agressés cette même nuit dans la Grande Rue n'auront quant à eux pas échappé à une distribution plus sévère de pains longs. A l'intention d'abord de l'une des deux jeunes femmes du groupe, puis de l'ami qui les raccompagnait, frappés l'un comme l'autre d'un coup de poing par l'un de leurs assaillants.
Finalement interpellé avec 6 autres suspects, il était hier le seul à avoir eu droit à une prolongation de sa garde à vue, au motif de son implication avérée dans les deux agressions.
C.R
Chahutées sur la place Granvelle par 2 puis 10 bad boys peu après 2h du matin, les premières de ces victimes, au nombre de 5, auront été bien inspirées de rapidement trouver refuge non loin de là dans le bar qu'ils venaient tout juste de quitter, échappant ainsi à la promesse d'une raclée mémorable dont leurs poursuivants, frustrés, auront toutefois tenu à offrir un aperçu… en s'acharnant sur la porte de l'établissement.
Moins chanceux peu de temps avant face à une bande plus restreinte de trois lascars, un trio d'étudiants également agressés cette même nuit dans la Grande Rue n'auront quant à eux pas échappé à une distribution plus sévère de pains longs. A l'intention d'abord de l'une des deux jeunes femmes du groupe, puis de l'ami qui les raccompagnait, frappés l'un comme l'autre d'un coup de poing par l'un de leurs assaillants.
Finalement interpellé avec 6 autres suspects, il était hier le seul à avoir eu droit à une prolongation de sa garde à vue, au motif de son implication avérée dans les deux agressions.
C.R
Publié le lundi 30 septembre 2013 à 10h53
