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Besançon : Une question de temps
Faute d'avoir reçu pour Noël le repreneur qu'elle avait commandé sur Leboncoin pour son ancien conservatoire de musique, Besançon devrait voir se réaliser d'ici peu un autre de ses vœux : l'expropriation de la friche industrielle de la Rhodiaceta.
Depuis plusieurs années que la ville se bat pour récupérer le site de 20 ha fermé en 1982, elle a en effet obtenu coup sur coup de la justice deux décisions qui lui sont favorables. La première ayant fixé le prix de vente des lieux à 1 € symbolique (compte tenu des 5 millions d'euros de travaux de dépollution estimés en parallèle), et la seconde ayant débouté la société Physenti, actuelle propriétaire de l'usine abandonnée, qui s'était opposée à la déclaration d'utilité publique du futur parc urbain des Prés-de-Vaux.
Ce qui signifie donc que pour concrétiser ce projet, Besançon, même en cas de pourvoi en cassation de la partie adverse, est désormais autorisée à mener à terme sa procédure d'expropriation. Laquelle devrait tout au plus prendre quelques semaines avant que ne commencent les choses sérieuses : à savoir 6 mois d'expertises, et peut-être 2 ans de dépollution, déconstruction et démolition.
En partenariat avec l’Institut Médical des Flatulences et l’Amicale des Dérangés Intestinaux,
Besac.com / FCzoom vous souhaite de très digestes orgies de fin d’année.
Depuis plusieurs années que la ville se bat pour récupérer le site de 20 ha fermé en 1982, elle a en effet obtenu coup sur coup de la justice deux décisions qui lui sont favorables. La première ayant fixé le prix de vente des lieux à 1 € symbolique (compte tenu des 5 millions d'euros de travaux de dépollution estimés en parallèle), et la seconde ayant débouté la société Physenti, actuelle propriétaire de l'usine abandonnée, qui s'était opposée à la déclaration d'utilité publique du futur parc urbain des Prés-de-Vaux.
Ce qui signifie donc que pour concrétiser ce projet, Besançon, même en cas de pourvoi en cassation de la partie adverse, est désormais autorisée à mener à terme sa procédure d'expropriation. Laquelle devrait tout au plus prendre quelques semaines avant que ne commencent les choses sérieuses : à savoir 6 mois d'expertises, et peut-être 2 ans de dépollution, déconstruction et démolition.
Publié le lundi 29 décembre 2015 à 09h15