<< Les dernières actualités de Besançon
Un TGV tête-en l’air à Belfort
Voilà qui va faire les gorges chaudes des détracteurs du TGV franc-comtois : non seulement il est cher, non seulement il refuse les chiens et les vélos, non seulement il n'est pas adapté aux fauteuils roulants, mais en plus il oublie les passagers!
Samedi matin, un TGV a en effet oublié de s'arrêter à la gare de Belfort et a été contraint de faire marche arrière.
Plusieurs passagers patientaient sur le quai de la gare de Belfort-Montbéliard pour prendre le TGV de 6h07. Celui-ci est bien passé, mais il ne s'est pas arrêté! Le temps que les voyageurs réagissent, ils ne distinguaient déjà plus que les feux arrières du train, loin sur la voie en direction de Besançon.
Le TGV s'est toutefois arrêté quelques minutes plus tard, et a entreprit de faire une marche arrière afin de récupérer les voyageurs oubliés. La manoeuvre n'étant pas habituelle, elle a pris une quinzaine de minutes.
Le train s'est finalement arrêté en gare à 6h24, sans qu'aucune explication n'ait été donnée aux passagers.
Ceux-ci ont par la suite avoué ne "plus faire confiance au conducteur".
Après cette mésaventure, le TGV est bien arrivé à Paris, avec seulement un peu de retard par rapport à l'horaire prévu.
R. Hingray
Samedi matin, un TGV a en effet oublié de s'arrêter à la gare de Belfort et a été contraint de faire marche arrière.
Plusieurs passagers patientaient sur le quai de la gare de Belfort-Montbéliard pour prendre le TGV de 6h07. Celui-ci est bien passé, mais il ne s'est pas arrêté! Le temps que les voyageurs réagissent, ils ne distinguaient déjà plus que les feux arrières du train, loin sur la voie en direction de Besançon.
Le TGV s'est toutefois arrêté quelques minutes plus tard, et a entreprit de faire une marche arrière afin de récupérer les voyageurs oubliés. La manoeuvre n'étant pas habituelle, elle a pris une quinzaine de minutes.
Le train s'est finalement arrêté en gare à 6h24, sans qu'aucune explication n'ait été donnée aux passagers.
Ceux-ci ont par la suite avoué ne "plus faire confiance au conducteur".
Après cette mésaventure, le TGV est bien arrivé à Paris, avec seulement un peu de retard par rapport à l'horaire prévu.
R. Hingray
Publié le mardi 31 janvier 2012 à 15h15