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La grève de la faim du restaurateur bisontin s'achève
Après une grève de la faim de 23 jours, le restaurateur bisontin a décidé hier de cesser son combat contre la mairie.
Ce propriétaire d'une pizzeria place de la Révolution à Besançon était en conflit avec la mairie qui refusait de lui attribuer une terrasse devant son établissement. Une décision justifiée par de nombreux conflits avec le restaurateur voisin : les deux hommes ont déjà déposé une vingtaine de plaintes l'un contre l'autre.
Afin de calmer les esprits, la mairie de Besançon a décidé de séparer les terrasses des deux établissements de quelques mètres. Les tables extérieures se retrouvent donc en décalage avec la devanture des deux restaurants. Si cette situation satisfait l'un des commerçants, l'autre a entrepris une grève de la faim afin de réclamer une terrasse plus proche de son établissement.
La mairie, lasse des conflits de voisinage, n'a pas cédé. Le restaurateur, après une grève de la faim de 23 jours, a donc annoncé hier qu'il acceptait la "solution provisoire" proposée par la municipalité.
La mairie a toutefois précisé que "tout écart de comportement de la part de ce restaurateur ou de son concurrent et voisin direct" serait immédiatement sanctionné par une suspension de terrasse.
R. Hingray
Ce propriétaire d'une pizzeria place de la Révolution à Besançon était en conflit avec la mairie qui refusait de lui attribuer une terrasse devant son établissement. Une décision justifiée par de nombreux conflits avec le restaurateur voisin : les deux hommes ont déjà déposé une vingtaine de plaintes l'un contre l'autre.
Afin de calmer les esprits, la mairie de Besançon a décidé de séparer les terrasses des deux établissements de quelques mètres. Les tables extérieures se retrouvent donc en décalage avec la devanture des deux restaurants. Si cette situation satisfait l'un des commerçants, l'autre a entrepris une grève de la faim afin de réclamer une terrasse plus proche de son établissement.
La mairie, lasse des conflits de voisinage, n'a pas cédé. Le restaurateur, après une grève de la faim de 23 jours, a donc annoncé hier qu'il acceptait la "solution provisoire" proposée par la municipalité.
La mairie a toutefois précisé que "tout écart de comportement de la part de ce restaurateur ou de son concurrent et voisin direct" serait immédiatement sanctionné par une suspension de terrasse.
R. Hingray
Publié le jeudi 12 mai 2011 à 18h10