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Besançon : Au bout du chemin
Suicide ou… suicide ? Telle est la question que pose l'accident mortel de la circulation survenu mardi soir rue de Dole à Besançon, après qu'une voiture eut percuté un homme… qui se trouvait au milieu de la route, au niveau de l'échangeur de Micropolis. Il était aux environs de 22h30 lorsque les faits se sont déroulés.
N'ayant pas vraiment cherché à traverser la chaussée (ou alors très maladroitement et en-dehors des clous), l'individu se serait en effet plus volontiers jeté au devant du véhicule. Ou plutôt du bus qui le précédait.
Evité in extremis par ce dernier, il n'aura pas eu la même "chance" avec l'automobiliste, dont la responsabilité n'a pas été mise en cause dans le choc frontal qui aura suivi. On imagine d'ailleurs qu'il y avait déjà bien assez de salissures à nettoyer comme ça, sans en plus avoir à essuyer les plâtres.
Morte sur le coup, la victime, âgée de 48 ans et hébergée dans un foyer social de Planoise, était un client bien connu des services de police et des hôpitaux psychiatriques, en raison de son penchant notoire pour l'alcool et les stupéfiants. Une addiction qui pousse désormais à se demander s'il était sous leur emprise au moment des faits. Ce que des analyses toxicologiques auront à déterminer.
C.R
N'ayant pas vraiment cherché à traverser la chaussée (ou alors très maladroitement et en-dehors des clous), l'individu se serait en effet plus volontiers jeté au devant du véhicule. Ou plutôt du bus qui le précédait.
Evité in extremis par ce dernier, il n'aura pas eu la même "chance" avec l'automobiliste, dont la responsabilité n'a pas été mise en cause dans le choc frontal qui aura suivi. On imagine d'ailleurs qu'il y avait déjà bien assez de salissures à nettoyer comme ça, sans en plus avoir à essuyer les plâtres.
Morte sur le coup, la victime, âgée de 48 ans et hébergée dans un foyer social de Planoise, était un client bien connu des services de police et des hôpitaux psychiatriques, en raison de son penchant notoire pour l'alcool et les stupéfiants. Une addiction qui pousse désormais à se demander s'il était sous leur emprise au moment des faits. Ce que des analyses toxicologiques auront à déterminer.
C.R
Publié le jeudi 1 août 2013 à 10h09