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2 000 manifestants à Besançon, Macron peut-il reculer ?
Cette journée du 22 mars 2018 a été marquée par de nombreuses manifestations.
Avec 180 « manifs » et rassemblements dans toute la France, Besançon a tenu son pari en rassemblant environ 2 000 personnes.
Ils se sont retrouvés vers 11h au centre-ville pour déambuler dans la ville avec de nombreuses pancartes et des slogans fleuris.
Ce sont des cheminots, mais aussi des enseignants, des agents territoriaux qui ont marché pour défendre leurs acquis sociaux et demander une hausse du pouvoir d'achat.
Emmenée par les organisations syndicales (CGT, FO, FSU, CFTC, Solidaires, FA-FP et CFE-CGC), la manifestation s'est déroulée en heurt.
Pour les autres, c'était surtout une journée de galère avec des difficultés de circulation dans les villes mais aussi sur les rails ou dans les airs puisque de nombreux trains et vols ont été annulés.
Du côté du président Macron et de son gouvernement, on se dit « à l'écoute » des manifestants mais «déterminé» à poursuivre les réformes engagées.
Au lendemain de cette grande grève qui a rassemblé plus de 300 000 personnes dans toute la France, le statu quo reste de mise.
Source image haut de l'article : wikipedia / Roman Bonnefoy
Avec 180 « manifs » et rassemblements dans toute la France, Besançon a tenu son pari en rassemblant environ 2 000 personnes.
Ils se sont retrouvés vers 11h au centre-ville pour déambuler dans la ville avec de nombreuses pancartes et des slogans fleuris.
Ce sont des cheminots, mais aussi des enseignants, des agents territoriaux qui ont marché pour défendre leurs acquis sociaux et demander une hausse du pouvoir d'achat.
Emmenée par les organisations syndicales (CGT, FO, FSU, CFTC, Solidaires, FA-FP et CFE-CGC), la manifestation s'est déroulée en heurt.
Pour les autres, c'était surtout une journée de galère avec des difficultés de circulation dans les villes mais aussi sur les rails ou dans les airs puisque de nombreux trains et vols ont été annulés.
Du côté du président Macron et de son gouvernement, on se dit « à l'écoute » des manifestants mais «déterminé» à poursuivre les réformes engagées.
Au lendemain de cette grande grève qui a rassemblé plus de 300 000 personnes dans toute la France, le statu quo reste de mise.
Seul sur un talus, Patrick, soixante-huitard, célèbre les 50 ans de mai 68. #Greve22mars pic.twitter.com/FRQ6SGD2TP
— France 3 Franche-Comté (@F3FrancheComte) 22 mars 2018
Source image haut de l'article : wikipedia / Roman Bonnefoy
Publié le vendredi 23 mars 2018 à 09h05